Rapports sur les maladies aiguës et chroniques

Rapports sur les maladies aiguës et chroniques
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World Gastroenterology 2018 : Le maintien de la rémission chez les patients atteints de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) est bien associé à un bon contrôle de la glycémie dans différentes classes montréalaises de MICI : Une étude rétrospective de 160 patients (MICI) dans un l- Eyad Gadour- South Manchester University Hospital

Eyad Gadour

Les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) sont un groupe de maladies chroniques de l'intestin dont l'étiologie est inconnue. Les rapports indiquent qu'une inflammation prolongée entraîne des lésions du tractus gastro-intestinal. Il existe deux principaux types de MICI, à savoir la maladie de Crohn, abrégée en MC, et la colite ulcéreuse, abrégée en UC. Objectif de l'étude : L'objectif principal de cette étude est de surveiller l'état glycémique des patients atteints de MICI pendant la rémission et la poussée. L'étude examinera s'il existe une relation entre les niveaux de glucose sanguin chez les patients atteints de MICI. L'hypothèse est que l'état glycémique est anormal dans les MICI actives et inactives.

Le nombre total d'échantillons utilisés dans cette étude était de 160. Les participants à l'étude ont été classés en trois groupes. Le premier groupe comprenait les patients atteints de MII en rémission tandis que le deuxième groupe comprenait les patients qui connaissent une poussée. Le troisième groupe était composé de sujets normaux qui étaient également décrits comme le groupe témoin. Les normes d'inclusion pour les participants à l'étude comprenaient l'âge qui comprenait de 16 à 90 ans, l'état de santé du patient lorsque les personnes incluses étaient connues pour avoir une MII, les patients sous l'équipe de gastroentérologie de l'hôpital universitaire de South Manchester. Les conditions d'exclusion pour qu'un sujet soit retiré ou ne soit pas autorisé à participer à cette étude étaient la grossesse. Dans cette recherche, le logiciel SPSS version 20 a été utilisé pour analyser les données. La relation entre les variables de l'étude a été également examinée à l'aide du test du Chi carré et du test T indépendant.

Cette revue se concentre sur les patients atteints de MII en rémission et devenus asymptomatiques après des traitements médicaux, endoscopiques ou chirurgicaux. Une fois en rémission, les patients atteints de MII espèrent mener une vie normale mais, en raison de la chronicité du traitement d'entretien et de la possibilité de récidive de la maladie, ils sont toujours confrontés à des transitions physiques et émotionnelles difficiles et à des défis sociaux et financiers. Étant donné que de nombreux patients atteints de MII en rémission peuvent être traités par des non-spécialistes, nous discutons des aspects de soins plus larges qui peuvent être négligés mais qui jouent un rôle important dans la préservation de la santé générale et de la qualité de vie. Lorsque les patients atteints de MII sont transférés par leur gastroentérologue vers des soins primaires ou d'autres prestataires spécialisés pour un suivi, ces prestataires doivent avoir une bonne compréhension des risques à long terme.

L'hypothèse de l'étude a été examinée à l'aide du test Anova à sens unique. Une analyse de régression a également été utilisée pour identifier les facteurs prédictifs de MII. La signification a été considérée à un niveau alpha < 0,05. Prendre soin d'un patient atteint de MII en rémission peut être compliqué, difficile et parfois sous-optimal. Les gastroentérologues fournissent souvent ces soins, mais les patients qui vivent en milieu rural doivent parcourir une grande distance pour leur suivi de MII, ou sont renvoyés par leur équipe de gastroentérologie ou de chirurgie et peuvent ensuite demander des soins à des médecins de famille, des internistes généralistes ou d'autres prestataires de soins. Ces praticiens doivent naviguer entre les différents traitements médicaux et chirurgicaux, leurs effets tardifs et parfois indolents, les options de surveillance et les calendriers de suivi des soins. L'orientation vers la physiothérapie et l'ergothérapie, d'autres services (c.-à-d. stomathérapeutes, conseils), des équipes de gestion de la douleur et des services sociaux doit également être envisagée pour s'assurer que tous les besoins sont satisfaits.

Résultats : Le nombre total de participants à cette étude était de 160 dont les dossiers médicaux ont été analysés ainsi que des tests effectués pour divers indicateurs de la maladie MII sur leurs échantillons de sang. 57 % des 91 participants étaient des femmes (57 %) tandis que 69 participants étaient des hommes (43 %). Sur cette population, 68 % étaient âgés de 40 ans et plus tandis que 32 % avaient moins de 40 ans. Cela indique que les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) touchent principalement les personnes de plus de 40 ans. La classification de Montréal de type A2L1B1 (8,1 %) L1- localisation iléo-colique et B1-comportement inflammatoire était inférieure à 16 % de E1S0.

Cela indique que la plupart des patients atteints de MII appartiennent à cette catégorie de la classification de Montréal. Aucune différence statistique significative n'est observée dans les autres types de maladies. L'autre catégorie de la classification de Montréal A2L2B2 [16 %] avait également un pourcentage élevé de patients diabétiques, mais ne présentait aucune différence statistique entre les autres classifications de Montréal. Un participant de la catégorie de la classification de Montréal A1L1B1 a le moins de relations avec les patients diabétiques (0,6 %).

Conclusion : En conclusion, l'objectif principal de cette étude est de surveiller l'état glycémique des patients atteints de MICI pendant la rémission et la poussée. Le chi carré de l'âge et du sexe a indiqué une variance de 1,55. Et (p<0,05). Cela montre qu'il n'y a pas de différence significative entre l'âge et le sexe, la plupart des personnes étant donc touchées par la MICI. Cela rejette donc l'hypothèse nulle et accepte l'hypothèse alternative selon laquelle il existe une relation entre l'état glycémique des patients atteints de MICI pendant la rémission et la poussée. L'hypothèse prouve également qu'il existe une relation entre le taux de glucose sanguin et la rémission chez les patients atteints de MICI.

Clause de non-responsabilité: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été révisé ou vérifié.
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