Journal de psychologie et psychothérapie

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Libre accès

ISSN: 2161-0487

Abstrait

La carence en vitamine D et son association avec la dépression chez les moins de 18 ans : les subtilités de la lumière du soleil et de l'obscurité

Hayat Khan*

Les récepteurs de la vitamine D sont présents dans les zones du cerveau impliquées dans la régulation de l’humeur, comme l’hippocampe et le cortex préfrontal. Il est suggéré que la vitamine D peut moduler la synthèse et la libération de neurotransmetteurs, notamment la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline, qui jouent un rôle important dans la régulation de l’humeur et sont impliqués dans la dépression. La vitamine D a également des propriétés anti-inflammatoires et peut influencer le fonctionnement du système immunitaire. L’inflammation chronique a été liée au développement de la dépression. La vitamine D peut aider à réguler la réponse immunitaire, réduisant l’inflammation et atténuant potentiellement les symptômes dépressifs. On pensait auparavant que la carence en cette vitamine n’était pas aussi courante qu’on le pensait aujourd’hui. Cette revue a examiné plusieurs études pour explorer l’association entre la carence en vitamine D et la dépression clinique chez les enfants et les adolescents. De nombreuses études basées sur la population adulte ont trouvé un lien plausible entre la carence en vitamine D et la dépression, mais les recherches sur les moins de 18 ans ont été limitées. Sur la base des recherches disponibles, les cliniciens en santé mentale doivent maintenir une forte suspicion clinique, pour établir un diagnostic et un traitement précoces de la carence en vitamine D.

Clause de non-responsabilité: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été révisé ou vérifié.
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