ISSN: 2168-9857
V Startsev*, V Khizha et K Movchan
Français Les tumeurs malignes (TM) jouent un rôle important parmi les maladies socialement significatives. Ces dernières années à Saint-Pétersbourg (SPb) vérifient une augmentation de l'incidence des TM. Nous effectuons l'analyse des statistiques de soins du cancer urologique (TSU) pour les habitants de SPb en 2009-2013. L'augmentation de la morbidité et de la mortalité a été marquée chez les patients TSU : indicateurs de Russie entière (RF) +0,8% ; +0,1%, respectivement ; à SPb - +3,6% ; +4,6%. Le rapport indice des TSU morts/malades en RF -4,0% à SPb +5,1% est le résultat d'un traitement tardif. Nous constatons une augmentation du nombre de cas de cancer de la prostate (PC ; +18,3%), de la vessie (BC ; +15,0%) et du rein (KC ; +5,7%) nouvellement diagnostiqués, ce qui a conduit à une augmentation des contingents de TSU (+14,2%). L'indice « brut » a augmenté en BC (hommes +4,7%, femmes +5,2%) ; Français KC chez les femmes +1,5% ; PC +7,3%, avec une augmentation maximale de l'UMT chez les hommes de 45 à 50 ans (+16,9%) et chez les femmes >65 ans (+11,3%). Le plus grand nombre de cas d'UMT (2013) vérifiés aux stades initiaux (61,0%), la situation similaire à la RF. Le groupe de cas de stade IV de BC a augmenté de +2,1% tandis que la KC et le PC ont diminué (-3,7% ; -0,3%). Le taux de mortalité à un an pour BC +3,0% est le résultat de la détection tardive de ces tumeurs. Dans le taux de mortalité total de MT (2013), la cote UMT était de 9,1%. Indice « brut » en nombre absolu de décès par PC +35,1% (2000-2013). Il est conseillé : D'organiser un système de surveillance des UMT suspectés ; d'envisager un codage unique des UMT en raison de la CIM-10 ; de dispenser une formation aux bases de l'onco-urologie aux oncologues ; améliorer la prise en charge médicale des cas de PC nouvellement diagnostiqués ; réaliser des études oncoépidémiologiques pour prévenir le développement de nouveaux UMT à SPb.