Techniques avancées en biologie et médecine

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Libre accès

ISSN: 2379-1764

Abstrait

Rôle de la corticostérone et expression de la 11ß-hydroxystéroïde déshydrogénase de type 1 dans le foie sur l'hyperglycémie post-exercice chez la souris diabétique obèse

Tom L Broderick *

L'exercice physique est recommandé pour le traitement du diabète sucré en raison de ses effets bénéfiques sur le contrôle de la glycémie, l'obésité et les facteurs de risque cardiométaboliques. L'exercice physique diminue la teneur en tissu adipeux et la glycémie à jeun et améliore la sensibilité à l'insuline. Les modèles de rats obèses et diabétiques résistants à l'insuline induits par le régime alimentaire ou spontanés pour étudier les effets de l'exercice physique ont été largement utilisés en raison de leur résultat favorable sur l'homéostasie du glucose. Cependant, les effets de l'exercice sur le contrôle global de la glycémie chez la souris db/db diabétique restent flous. La souris db/db ressemble à la condition humaine du diabète sucré de type 2 et se caractérise par une hyperleptinémie, une hyperglycémie et une obésité résultant d'une mutation du gène du récepteur de la leptine. La souris db/db présente une hypercorticostérone, qui reflète également la condition humaine. Selon le régime d'entraînement physique, le métabolisme du glucose est soit légèrement amélioré, soit encore plus compromis. Dans cette communication, les effets de l'exercice volontaire et forcé sur tapis roulant sur le contrôle de la glycémie chez la souris db/db sont mentionnés. De plus, les effets de l’exercice aigu sur l’homéostasie du glucose sont discutés, ainsi que les mécanismes potentiels expliquant l’hyperglycémie post-exercice observée chez la souris db/db.

Clause de non-responsabilité: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été révisé ou vérifié.
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