Troubles pancréatiques et thérapie

Troubles pancréatiques et thérapie
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ISSN: 2165-7092

Abstrait

Facteurs prédisposants et facteurs de risque d'hyperglycémie chez les personnes infectées par le virus de l'immunodéficience humaine recevant des soins à l'hôpital du district de Bali, Cameroun

Yayah Emerencia Ngah, Federick Nchang Cho, Bisong Shauna Etagha, Ngu Felix Akum, Njimona Ibrahim

Introduction : Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) est un virus qui attaque progressivement le système immunitaire, qui est la défense naturelle de notre corps contre la maladie. La thérapie antirétrovirale (TAR) a changé le cours de l'épidémie du VIH lorsqu'en 1996, dans le cadre d'une thérapie combinée puissante [souvent appelée thérapie antirétrovirale hautement active (HAART)], ils ont pu prolonger considérablement la durée de vie des personnes vivant avec le VIH. Notre étude visait à évaluer les facteurs prédisposants et de risque d'hyperglycémie chez les patients VIH dans un hôpital de district rural au Cameroun.
Méthodes : Une étude transversale en milieu hospitalier a été menée sur 110 patients VIH, 14 hommes et 96 femmes. L'âge des participants variait de 22 à 71 ans, avec un âge moyen de 42 ans. Un échantillon de sang capillaire a été prélevé chez chaque patient au moyen d'une piqûre au doigt et le taux de glycémie à jeun (FBS) a été mesuré à l'aide d'un glucomètre. Le
glucomètre a été étalonné à l'aide de la méthode du réactif de glucose oxydase. Français L'hyperglycémie a été définie comme une FBS > 110 mg/dL. Les taux de glycémie à jeun variaient de 52 à 175 mg/dL avec une FBS moyenne de 108,9 mg/dL.
Résultats : L'hyperglycémie variait significativement avec un IMC faible (p = 0,008). Le sexe masculin (OR 1,7) et les personnes dont le taux de CD4 est inférieur à 500 cellules/mm3 (OR 2,1) sont plus susceptibles de développer une hyperglycémie que le sexe féminin et ceux dont le taux de CD4 est supérieur à 500 cellules/mm3 respectivement. La majorité des participants à l'étude, 73 (66,4 %) avaient un taux de CD4
inférieur à 500, 37 (33,6 %) avaient un taux supérieur à 500. 79 (71,8 %) des participants étaient sous traitement depuis moins de 5 ans tandis que 31 (28,2) étaient sous traitement depuis plus de 5 ans. Français Une minorité, 2 (1,8 %) des participants à l'étude étaient alcooliques et 108 (98,2 %) étaient non alcooliques. Seulement 1 (0,9 %) participant était fumeur et 109 (99,1 %) non-fumeurs. La majorité, 56 (50,9 %) des participants étaient sous Ténofovir/Lamivudine. 82 (74,5 %) participants avaient un IMC inférieur à 25 tandis que 28 (25,5 %) avaient un IMC supérieur à 25.
Conclusion : Les résultats de cette étude suggèrent la nécessité de promouvoir le dépistage de la glycémie chez les patients diagnostiqués avec le VIH et un dépistage régulier au cours du traitement.

Clause de non-responsabilité: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été révisé ou vérifié.
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