Recherche immunitaire

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Libre accès

ISSN: 1745-7580

Abstrait

Résistance immunologique

William Robert

La résistance immunologique est définie comme centrale ou périphérique, selon qu'elle est provoquée dans le thymus et la moelle osseuse (centrale) ou dans d'autres tissus et ganglions lymphatiques (périphérique). Ces types de tolérance sont développés par des mécanismes différents, mais le résultat final est le même. La capacité des lymphocytes B immatures de la moelle osseuse à reconnaître les antigènes est cruciale pour la production d'une tolérance immunologique au soi. Il en résulte une population de lymphocytes B qui ne reconnaissent pas les antigènes du soi, mais peuvent reconnaître les antigènes pathogènes ou non du soi. Les lymphocytes T sont soumis à une sélection de survie beaucoup plus stricte que les lymphocytes B. Pour générer des lymphocytes T qui reconnaissent les molécules du CMH du soi mais pas les peptides du soi, ils sont soumis à une sélection positive et négative. Étant donné que la tolérance centrale n'est pas efficace à 100 %, des mécanismes de tolérance des lymphocytes T périphériques sont nécessaires pour prévenir l'auto-immunité. De nombreuses formes de cellules T régulatrices maintiennent une tolérance périphérique active, dont les plus connues sont les Tregs FoxP3+, qui se forment naturellement dans le thymus ou peuvent être induites en périphérie.

Clause de non-responsabilité: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été révisé ou vérifié.
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