ISSN: 2319-7285
Nyarondia Samson Mecha
L'octroi de microcrédits aux pauvres, en particulier aux jeunes et aux femmes des zones rurales pauvres, est un facteur important de réduction de la pauvreté par l'autonomisation. La plupart des études de recherche réalisées ont indiqué des améliorations dans la création d'emplois ainsi que dans l'augmentation des niveaux de revenus grâce au travail indépendant. On a constaté des signes d'indépendance du côté des femmes ainsi que des jeunes, en ce qui concerne les dépenses ménagères du côté des femmes et les dépenses d'éducation du côté des jeunes, qui sont capables d'augmenter leurs revenus grâce au travail indépendant. Le chercheur a également découvert que la plupart des chercheurs ont utilisé au moins deux à quatre modèles, les plus populaires étant : le modèle du groupe de solidarité Grameen, le modèle ciblant les groupes de femmes, le modèle du calendrier de remboursement régulier et le modèle de la banque villageoise. Le chercheur a traité de diverses discussions, les principales étant que le microcrédit a pu sortir au moins 55 % de ses clients de la pauvreté, ils sont approvisionnés en eau potable. Il apparaît également clairement que les plus pauvres des pauvres n'en bénéficient pas car la majorité d'entre eux ne sont pas en mesure de rembourser leurs prêts, ce qui les fait perdre le peu qu'ils avaient. Il est également recommandé aux institutions de microfinance d'ouvrir leurs activités aux clients de niveau intermédiaire comme les enseignants, les employés et les infirmières afin qu'ils puissent fonctionner de manière rentable. Enfin, les études ont averti leurs clients que le microcrédit n'est pas un remède à la pauvreté. Les recommandations favorables ont été de diversifier leurs installations pour pouvoir couvrir davantage de clients, de fournir une formation à la fois à leur personnel et à leurs clients pour une utilisation efficace des prêts, et également de pouvoir facturer des taux d'intérêt raisonnables.