ISSN: 2155-9570
Nishtha Malik, Anuradha Raj, Renu Dhasmana et Harsh Bahadur
Français : Objectif : Évaluer l'effet des études nocturnes et de l'utilisation excessive des téléphones intelligents sur la santé oculaire des étudiants en médecine de premier cycle.
Conception : Une étude observationnelle et transversale.
Participants : Deux cent cinquante-neuf étudiants en médecine normaux et en bonne santé âgés de 18 à 25 ans ont été inclus dans l'étude sur une période de deux mois.
Méthodes : Tous les volontaires ont subi un entretien sous forme de questionnaire. Un examen ophtalmique complet a été effectué, comprenant une évaluation de l'acuité visuelle de Snellen, un examen du segment antérieur avec une lampe à fente, un segment postérieur avec une ophtalmoscopie directe ou indirecte ; un test de Schirmer et le temps de rupture du film lacrymal.
Résultats : Un total de 259 sujets ont été inclus dans l'étude et le maximum de sujets 160 (61,8 %) étaient des femmes. Selon l'âge, les étudiants ont été divisés en deux groupes, I et II, âgés respectivement de 17 à 20 ans et de 21 à 23 ans. Français Un maximum de 195 (75,3 %) étudiants appartenaient au groupe I. Un maximum de 245 sujets (94,5 %) utilisaient uniquement des smartphones et 239 (92,27 %) sujets utilisaient des smartphones pendant plus de 2 ans. Un maximum de 136 (52,51 %) étudiants étudiaient la nuit et un maximum de 112 (43,24 %) utilisaient une lampe à tube. Une association significative a été observée entre l'appareil numérique utilisé et l'âge du sujet (valeur p = 0,01). Le nombre de symptômes ressentis par les étudiants a montré une relation significative avec le nombre d'heures d'utilisation du smartphone (valeur p = 0,02). La source de lumière dans laquelle les étudiants étudiaient la nuit était significativement associée au nombre de symptômes ressentis (valeur p = 0,03). Une association entre l'utilisation des smartphones (heures) a montré une relation significative avec l'examen à la lampe à fente (débris lacrymaux) et le syndrome de Schirmer (moins de 15 mm) avec une valeur p de 0,03, 0,05 respectivement.
Conclusion : La source de lumière utilisée pour étudier la nuit et le nombre d'heures d'utilisation des appareils montrent une relation avec les symptômes. Les utilisateurs de smartphones ont présenté des problèmes oculaires liés à l'ordinateur chez plus de la moitié des sujets.