ISSN: 2376-130X
Adel Najar
Contexte et objectifs : Le présent travail visait à concevoir huit molécules basées sur l'unité 7-chloroquinoléine ayant le potentiel de traiter la maladie à coronavirus (COVID-19).
Résultats : La molécule AB3 a enregistré Log P en utilisant le logiciel HyperChem à 4,18, l'écart EHOMO/LUMO à 8,195 eV, l'énergie totale à -76645,750 Kcal/mol, l'énergie de liaison à -3979,363 Kcal/mol et le moment dipolaire à 4,87 D. L'AI3 a enregistré Log P à 4,60, l'écart EHOMO/LUMO à 7,512 eV, l'énergie totale à -72557,745 Kcal/mol, l'énergie de liaison à -3827,571 Kcal/mol et le moment dipolaire à 3,22 D. Étonnamment, les deux molécules candidates (AB3 et AI3) ont rapporté des résultats très proches de la chloroquine. Pour plus de clarté, l'énergie totale, l'énergie de liaison, le moment dipolaire, le Log P et l'écart énergétique HOMO/LUMO pour l'antipaludéen bien connu et le candidat le plus en vogue pour le traitement de la COVID19 (chloroquine) ont été calculés à -76970,9 Kcal/mol, -4788,21 Kcal/mol, 4,10 D, 4,27 et 8,13 respectivement. Selon les résultats calculés de l'écart HOMO/LUMO et d'autres paramètres connexes, l'AB3, l'AI3 et la chloroquine semblent avoir la même stabilité et la même réactivité. Étude des molécules in silico pour prédire les propriétés physicochimiques, pharmacocinétiques, ADMET et de similarité médicamenteuse.
Conclusion : Les résultats calculés d'AB3 et d'AI3 ont confirmé que ces deux composés similaires à ceux de la chloroquine ont fourni un futur médicament potentiel pour la lutte contre le paludisme et le COVID19.