ISSN: 2319-7285
Manish Nangia et Dr Harish Handa
L’IED dans le commerce de détail, l’accent principal serait mis sur les effets de l’IED sur diverses organisations. Afin d’entamer cette discussion, nous présenterons d’abord un aperçu du secteur indien du commerce de détail. Ensuite, nous parlerons des options d’entrée des acteurs étrangers avant la politique d’IED. Pour les marques qui adoptent la voie de la franchise comme politique, la politique actuelle d’IED ne fera aucune différence. Elles s’appuieront toujours sur une structuration innovante des accords de franchise pour maximiser leurs rendements. Les grandes entreprises de biens de consommation durables telles que LG et Samsung, qui possèdent des magasins exclusifs détenus en franchise, ne sont pas susceptibles de s’écarter immédiatement de la voie privilégiée. Cependant, si un investisseur étranger s’associe à un détaillant existant ou se tourne vers d’autres qui ne sont pas nécessairement dans le secteur mais qui cherchent à se diversifier, cela reste à voir. Un accord à court ou moyen terme peut faire des merveilles, mais que se passera-t-il si le gouvernement décide de libéraliser davantage la réglementation comme il l’envisage actuellement ? L’investisseur étranger doit négocier soigneusement ses accords de coentreprise, avec une option de rachat de la part du partenaire indien si et quand la réglementation le permet. Ils doivent également être conscients de la réglementation qui stipule qu'une fois qu'une entreprise étrangère conclut une collaboration technique ou financière avec un partenaire indien, elle ne peut pas conclure une autre joint-venture avec une autre entreprise indienne ou créer sa propre filiale dans le même domaine sans le consentement du premier partenaire si l'accord de joint-venture ne prévoit pas de clause de « conflit d'intérêts ». En effet, cela signifie que les propriétaires de marques étrangères doivent être extrêmement prudents dans le choix de leurs partenaires et dans la marque qu'ils introduisent en Inde.